Aqualectron : Pas de vie sans eau, paraît-il...


Par Alain de Luzan, Auteur, géobiologue et bioénergéticien

Président fondateur de L'Institut de Recherche en Géobiologie et Bioénergie



Pas de vie sans eau, paraît-il. Mais l’eau elle-même, est-elle vivante ?

Effectivement, l’eau répond souvent à 2,5 à l’antenne de Lecher, notamment l’eau de mer ainsi que l’eau de pluie.

En revanche, celle du robinet répond souvent à 2. Peut-être en raison du chlore.

Certaines eaux sont radioactives et se détectent à 3,5 à l’antenne de Lecher. Elles peuvent contenir du tritium, notamment au niveau des nappes phréatiques autour des centrales nucléaires contaminées par les fuites et les infiltrations.

Elles peuvent aussi contenir du radon 222, notamment les eaux en bouteilles issues des zones granitiques.

Cependant, la plupart des eaux sont vivantes et répondent à 2,5 mais pas toutes.

Certaines eaux répondent à 2 à l’antenne de Lecher. L’eau peut donc mourir.

 

Si nous buvons cette eau morte, nous ressentons clairement un  poids au niveau de l’estomac.

Mais si une eau est morte, peut-elle revenir à la vie ?


Tentons une expérience.

Si je remplis une bouilloire à ras-bord d’une eau morte et que je fais chauffer cette eau, elle reste à 2 malgré une forte agitation moléculaire observable par transparence (photo n°1). Je constate que la modification des clusters (arrangements moléculaires) n’est pas corrélée à la vie.

Après avoir transvasé une partie de cette eau morte (donc à 2) pour remplir à moitié une bouteille (photo n°2), je la secoue durant une minute telle un shaker (photo n°3).

Et là : miracle ! l’eau repasse à 2,5 (photo n°4) ! Elle ne répond plus à 2.

Trois biochamps rayonnent autour de la bouteille qui était à moitié remplie d’air : un biochamp électrique à 7,8 , un biochamp magnétique à 5,7 et un biochamp thermique à 2,5.

Comme nous l’avons vu, cette vitalisation  ne résulte pas d’un nouvel arrangement des molécules d’eau.

J’en déduis que le biochamp thermique de l’eau n’est pas non plus une simple question de température. Le biochamp thermique est induit par son biochamp électrique, peut-être par effet Joule.

Si nous mesurons sa teneur en électrons (mesure du rH2 à l’aide d’un bioélectronimètre), nous observons que ce rH2 diminue fortement après agitation en présence d’air. C’est la preuve d’un enrichissement en électrons.

J’en déduis qu’en se mélangeant à l’air ambiant, l’eau s’est chargée en électrons.

Et c’est alors, et alors seulement, que réapparaît le biochamp électrique de l’eau.

 

Comme l’avait compris Louis-Claude VINCENT, la vie est donc une question d’électrons !

L’eau est un capteur d’électrons : l’aqualectron est à l’eau ce que l’oxion est à l’air.

Nous savons que l’oxygène de l’air peut devenir un « ion négatif d’oxygène » en capturant des électrons supplémentaires. Le mot « oxion » inventé par le docteur Jacques Gilbert Métadier (1893-1986)) me semble préférable pour désigner cet état car le mot « négatif » laisse sous-entendre que ce ne serait pas bon pour la santé, alors que c’est tout l’inverse. Les bienfaits que nous pouvons tirer du supplément d’électrons en inspirant un air chargé d’oxions n’est plus à démontrer.

De la même façon, une molécule d’eau peut capter quatre électrons supplémentaires : deux sur l’orbite externe de l’atome d’oxygène et un par atome d’hydrogène, soit quatre au total par molécule d’eau.

Et c’est précisément ce qui se passe lorsque nous dynamisons l’eau en la mélangeant à l’air.

C’est pourquoi je trouverais logique d’appeler « aqualectron » une molécule d’eau enrichie en électrons. Ainsi, l’aqualectron est à l’eau ce que l’oxion est à l’air.

Nos ancêtres ne connaissaient pas l’existence de ce que nous appelons aujourd’hui « l’électron ». lls ignoraient que ces électrons, montant en direction de l’ionosphère, chargeaient les molécules d’air en électricité. En revanche, ils ressentaient l’existence d’une nourriture vitale dont ils remplissaient leurs poumons et qui leur permettait de vivre et d’agir. C’est cet air chargé d’électrons qu’ils nommaient Tchi en Chine, Ki au Japon, Prana en Inde, Mana en Polynésie et éther en Occident..

 

En 1963 le chimiste Edwin HORT, de la société Argonne, énonça l’hypothèse d’une capture d’électrons par des cages moléculaires formées de molécules d’eau.


Observant, en compagnie d’un collègue britanique, une bande d’absorption bleue sur leur spectrophotomètre, ils en attribuèrent la cause à des « électrons hydratés ». Lorsqu’on injecte un excès d’électrons dans de l’eau à l’état liquide, ils forment des amas. On estime que 6 molécules d’eau peuvent former une véritable cage moléculaire autour de ces électrons hydratés.

Que ce soit en complétant les couches de valence de leurs atomes (aqualectrons) ou en les emprisonnant dans des cages (électrons hydratés), il est clair que l’eau peut absorber des électrons.

 

 

Ainsi, nous pouvons nous enrichir en électrons aussi bien en buvant de l’eau dynamisée qu’en respirant des ions négatifs d’oxygène, ou en mangeant des légumes racines frais et crus ou en nous négativant debout et pieds nus sur un sol humide.

La fantastique découverte du biologiste René QUINTON trouve ici son explication.

Souvenons-nous :

René Quinton avait vidé son chien de son sang pour le remplacer par de l’eau de mer. Malgré l’absence de globule rouge, son chien nommé « sodium » survécut.

J’en déduis que si l’oxygène est indispensable à la vie aérobie, c’est avant tout par les électrons qu’il capture. Et je pense que la plupart des poissons tirent leur vitalité des électrons qu’ils puisent dans les molécules d’eau, qu’elle soit salée ou non.

Le sodium est un électrolyte qui permet le déplacement de ces électrons. Tandis que l’eau pure, celle dont nous remplissons nos batteries par exemple, empêche les électrons de circuler.

 

En fait, lorsque nous disons l’eau c’est la vie, il serait plus juste de dire « l’électron est la vie ». Et ces électrons qui engendrent un courant de vie lorsqu’ils circulent peuvent être véhiculés aussi bien par l’air que par l’eau.


Cet article a été publié dans Sources Vitales et dans Soleil Levant