L’I.R.G.B. étudie le corps énergie du règne animal ou végétal.
Il s'agit de l'étude de l’équilibre énergétique :
Biochamps,
Chakras,
Nadis,
Méridiens énergétiques,
Corps énergie
et Périsprit
Deux disciplines principales sont le terrain d'études des indicateurs santé du corps énergie :
La Bioénergie et la Bioélectrophotonique
Il s'agit de l'étude de la configuration des biochamps humains. Le bioénergéticien opère princinpalement avec l’antenne de Lecher.
Il s'agit d'évaluer l'intensité et la répartition de l’énergie biologique en sortie des méridiens d’énergie.
En fonction du diagnostique, le bioénergéticien procède à un rééquilibrage du corps énergie.
Caméra GDV
Le corps énergie peut être visualisé par la photographie Kirlian.
La photographie Kirlian, ou photographie à haute fréquence, fut « redécouverte » accidentellement en 1939, par le technicien russe Semyon Kirlian et sa femme Valentina.
Elle permet de visualiser un halo lumineux large d’environ 1 à 3 centimètres, autour des objets ou des êtres vivants. Ce halo est expliqué par « une ionisation gazeuse engendrée aux abords immédiats du sujet plongé dans un champ électromagnétique de faible intensité ».
Selon William Tiller, de l’Université de Stanford, on ne peut pas observer directement une manifestation « non physique » en utilisant des instruments.
Les énergies « non physiques » étant «des énergies d’une nature non électromagnétique, non sonique et non gravitationnelle ».
En revanche, David V Tansley (1934-1988), ancien vice président de la British Radionics Association, affirme que le corps énergie est aussi de nature physique. Il affirme également que « ce que nous percevons peut-être révélé par l’électrophotographie ».
À supposer que ce halo lumineux présent autour des objets photographiés soit dû à l'effet corona*, il n’en reste pas moins que des sujets sensibles ressentent - au toucher - les biochamps des individus tout comme ils sont capables de ressentir, en plaçant leurs doigts à quelques centimètres, l’énergie des aliments et des objets.
*L'effet corona, aussi appelé « effet couronne » ou « effet de couronne », est un phénomène de décharge électrique partielle entraînée par l'ionisation du milieu entourant un conducteur.
Il existe deux formes d’alimentation : l’alimentation matière et l’alimentation énergie.
Seule la composante moléculaire est prise en compte en occident. Nous n’hésitons pas à planter des fourchettes et des couteaux métalliques dans nos aliments frais. Tant pis si les électrons filent dans le couvert.
En revanche, les Chinois préfèrent des baguettes de bois ou en ivoire pour leurs aliments frais, de façon à s’approprier leur énergie au lieu de la laisser filer dans le métal. À titre d’exemple, la composante moléculaire d’une pomme nourrira notre corps physique tandis que sa composante énergétique alimentera nos biochamps. Ainsi, la fraîcheur des aliments a autant d’importance que leur caractère biologique, c’est-à-dire exempt de molécules chimiques.
Il s'agit des caractéristiques physicochimiques du corps humain :
La bioélectronique de Louis-Claude Vincent étudie le terrain biologique.
Elle analyse la chimie du corps matière selon des paramétrés physico-chimiques : sang, salive, urine analysés par un bioélectronimètre dont les données sont affichées sur un diagramme appelé bioélectronigramme.
Louis-Claude Vincent
L’IRGB objective l’efficacité des systèmes de protection à travers des indicateurs santé (caractéristiques physicochimique du corps humain) émanant des terrains biologiques du règne animal ou végétal.
Exemple : mesure du pH, de l’oxydoréduction et de la résistivité du sang, de la salive et de l’urine à l’aide d’un bioélectronimètre dont les données puis analyse des bioélectronigrammes :